Le « Forrest Gump français » est en Auvergne

Courir 1 200 kilomètres en 28 jours, c’est le défi que c’est lancé un habitant de Bézier, Claude Cazes, pour soutenir l’ARC, fondation de recherche contre le cancer. Un périple à l’occasion d’octobre rose. Ce samedi, le Forrest Gump Fran est passé dans le nord de l’Auvergne.

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Un homme barbu, avec une casquette rouge qui court le long d’une route en ligne droite… Cela ne vous rappelle rien ? Comme Forrest Gump, le biterrois Claude Cazes court contre le cancer, pour soutenir l’ARC fondation de recherche contre le cancer, du sud au nord de la France, depuis le 2 octobre. Ce samedi 15 octobre, le coureur au grand cœur est en Auvergne. « Je fais 1 200 kilomètres entre la commune la plus au sud et la commune la plus au nord. Là, je suis à la moitié du parcours. C’est mon 14ème jour, en parcourant 42 kilomètres par jour, l’équivalent d’un marathon. J’en suis presque à 600 kilomètres parcourus déjà », raconte Claude Cazes, le Forrest Gump français. Pour Claude Cazes, Forrest Gump est tout un symbole : « Je trouve que c’est un personnage bienveillant et il donne de l’espoir. C’est ce que j’ai envie de faire autour de ce défi. »

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Courir 1 200 kilomètres en 28 jours, c’est le défi que c’est lancé un habitant de Bézier, Claude Cazes, pour soutenir l’ARC, fondation de recherche contre le cancer. Un périple à l’occasion d’octobre rose. Ce samedi, le Forrest Gump Fran est passé dans le nord de l’Auvergne. ©P.Franco/A.Souchon/A.Cretin/ France 3 Auvergne

Prendre soin de son corps

C’est l’heure de la pause. Il est temps de trouver un point d’eau pour se rafraichir entre les 2 semi-marathons quotidiens. « Ce qui me permet de tenir au quotidien c’est les étirements que je fais quand j’ai des douleurs, sur mon parcours je m’arrête et je m’étire. Je fais aussi des bains de froid, soit dans des cours d’eau, soit dans des fontaines de communes. Cela permet de réduire les inflammations drastiquement », explique Claude Cazes.

1 200 kilomètres à parcourir

Courir 1 200 kilomètres en 28 jours, cela se passe sur la route, mais aussi dans la tête. « Je repense à la raison pour laquelle je cours, je pense aussi à ma famille, ma compagne et mes deux enfants. Ils me soutiennent et je les ai tous les soirs au téléphone. Ce sont des moments importants qui permettent de tenir. Je suis une personne ordinaire qui fait quelque chose qui n’est pas ordinaire. » Arrivée prévue au bord de la mer du nord le 29 octobre. Allez Cours Claude ! Cours !

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