Attentats à Paris. Les réactions en Isère, Savoie et Haute-Savoie

Ce samedi 14 novembre, les réactions politiques se multiplient dans les Alpes du nord, notamment sur les réseaux sociaux, après les attentats qui viennent de frapper Paris.


Réactions des politiques de l'IsèreOlivier Veran, ancien député (PS) de l'Isère

Annie David, sénatrice (PCF) de l'Isère: "Chacune et chacun d'entre nous en est profondément meurtri. Ce sont nos terrasses de café, nos lieux de loisirs, de sport et de culture qui ont été frappés. C'est notre liberté et nos joies qu'ils ont visés. La République est touchée en son coeur...La France est touchée par la guerre et la déstabilisation qui minent le Proche et le Moyen-Orient mais c'est le terrorisme qu'il faut combattre, par une mobilisation redoublée et des solutions internationales."

Bernard Accoyer, député-maire LR d'Annecy-le-Vieux

Vincent Chriqui, maire (Les Républicains) de Bourgoin-Jallieu 

Virginie Duby-Muller, députée (Les Républicains) de Haute-Savoie

Jérôme Safar, chef de file de l'opposition PS à la mairie de Grenoble

Jean-Jack Queyranne, président (PS) de la région Rhône-Alpes: "Par respect pour ceux qui sont tombés, victimes de ces actes de barbarie, j'ai demandé immédiatement à mes équipes de suspendre la campagne électorale. J'apporte mon entier soutien au Président de la République, au gouvernement et aux forces de sécurité et de secours pour lutter contre le terrorisme et préserver l'unité de la Nation. Je m'incline devant la douleur des familles et de leurs proches."

Jean-Claude Carle, sénateur LR de Haute-Savoie


Eric Piolle, maire (EELV) de Grenoble


Jean-Pierre Barbier, président (Les Républicains) du Conseil départemental de l'Isère

Laurent Wauquiez, tête de liste (Les Républicains) aux élections régionales en Auvergne-Rhône-Alpes: "On éprouve tous un sentiment d’effroi et de révolte. Toute la France est en communion profonde avec les familles des victimes. On ne peut pas continuer comme ça, on ne peut pas accepter passivement ce monde de terreur pour nos enfants et il faut clairement dire 'ça suffit'...Nous sommes dans une heure de notre histoire où la sécurité doit être notre seule priorité. Le plus important est d’empêcher à tout prix de nouvelles attaques."
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