Marie-Aimée Méraville a hissé le conte au premier plan dans les années 50 dans le Cantal. Elle a ensuite entretenu une correspondance avec Marcel Aymé, Alexandre Vialatte ou Henri Pourrat.
Un livre édité par les éditions Quelque part sur terre vient d'être consacré à cette figure littéraire.
"Le coffre à sel " est sans doute son livre le plus connu.Trois fois réédité, il fit la renommée de Marie Aimée Méraville mais il ne l'empêcha pas d'explorer d'autres style littéraires. Madame l'institutrice de Condat en Feniers a hissé le conte au premier plan dans les années 50. Elle a ensuite entretenu une correspondance avec Marcel Aymé, Alexandre Vialatte ou Henri Pourrat.
Cette figure littéraire a séduit jusqu'au Japon où elle fut plusieurs fois traduite.
A l'initiative de l'historien Joël Fouilheron et de l'Association des Amis de Marie Aimée Méraville, un livre vient d'être édité par Laurence Adnet des Editions Quelque par sur terre. Le livre est découpé en trois parties : les quarante-quatre contes de Marie Aimée Méraville, la mémoire de la langue et du patois, et enfin une importante documentation sur sa vie, son oeuvre acquise récemment par les archives départementales du Cantal. L'ouvrage est agrémenté des photos de Pierre Soissons.