Sur le modèle des émissions The Voice ou Nouvelle Star, l'association culturelle le Polyèdre organise pour la deuxième année à Seynod un concours de chant. A la clé pour le gagnant, l'enregistrement d'un album.
On a peur de tout ...et c'est bon !
Ils étaient 24 candidats en début de concours, âgés de 16 ans au moins, résidant en France ou en Suisse Romande, et se produisant en solo.
En demi-finale il n'en restait plus que huit. Et le 19 mai sur la scène de la salle Cap Périaz ils ne seront plus que 4 ...
Une scène, des musiciens, des lumières, un public, un jury, des votes, un verdict, des voix puissantes et des têtes qui tombent ... à Seynod Voice les ingrédients sont les mêmes que dans les émissions à succès, les caméras en moins.
Cette année, c'est le guitariste et chanteur gallois Mickaël Jones, compagnon de route de Jean-Jacques Goldman, qui parraine le concours et participe au jury. "Il y a des choses qu'on ne peut pas corriger, quelqu'un sur scène a de la présence ou pas. Et si il n'en a pas ça ne prend vraiment pas. On ne juge que ce qu'on reçoit. Soit on est ému, soit on n'est pas ému."
reportage de Françoise Gais et Vincent Habran
Intervenants : Romain Bonthoux, candidat (Annecy) ; Pierre Tomasi, directeur du Polyèdre, organisateur de Seynod Voice ; Emilie Ragni, membre du jury ; Michael Jones, membre du jury et parrain de Seynod Voice