Isère: pas de trace de l'ADN de l'accusé

Pour cette 2e audience, les experts ont révélé l'absence d'ADN incriminant Djelloul Benyahia sur les lieux.

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Suite du procès de l'Isère viols et séquestration

Pas de preuves matérielles probantes, mais l'ombre d'une autre affaire de viol et de séquestration, pour laquelle il y avait eu prescription.

L'analyse des scellés a révélé l'absence de traces humaines, notamment sur le cadenas supposé avoir servi pour entraver Habiba au moment de sa séquestration. C'est sur cet élément que s'appuie l'avocat de la défense, Maître Steinmann.

Ce matin du jeudi 13 septembre, la parole est donnée aux experts, généticiens et médecins légistes. Ces derniers affirment qu'Habiba n'a pas été droguée pendant sa détention.

Autre fait troublant, les perquisitions n'ont apporté aucune matière biologique, c'est-à-dire aucunes traces humaines. Pas d'ADN sur le cadenas, pas plus sur le scotch supposé avoir servi dans la voiture de Djelloul Benyahia.

Cet après-midi, l'audience va se concentrer sur la personnalité de l'accusé. Une collègue à la mairie de Grenoble le qualifie "d'être malfaisant" dont il fallait se méfier. Un proche parle d'un "ami serviable et fiable".

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