Un maintien de justesse l'an passé et beaucoup de défaites sur le fil cette saison. Alors qu'il ne reste que cinq matchs à jouer pour le CSBJ, déjà bon dernier du classement de Pro D2, comment appréhender cette fin de saison ?
"On donnait tellement à l'entraînement, aux matchs, et ça ne payait pas, donc c'est beaucoup de regrets. À la fin de saison, je vais avoir du mal à digérer" prévient le talonneur Mohamed Kribache.Aujourd'hui, la relégation est certaine, en fédérale élite, au mieux. "Ce serait impensable de finir plus bas que la Fédérale 1 élite, donc le but c'est de remettre tout le club sur des bonnes bases, [...] pour repartir de zéro et repartir sur de grosses fondations" espère l'entraîneur Alexandre Péclier.
"Aujourd'hui que reste-t-il ? Le stade est vide. On est un peu orphelins. C'est une belle histoire, on ne voudrait pas qu'elle se termine" lâche Daniel, supporter désabusé.
Vendredi 24 mars, le club a subi une énième défaite face à Aurillac, 40 à 14. Prochain match le 31 mars contre Béziers.