Le procureur de la République de Grenoble a donné une conférence de presse cet après-midi à 17 heures après l'attaque contre des militaires survenue ce jeudi 29 mars 2018 en début de matinée. Un homme a foncé sur les militaires devant la caserne de Varces ce matin, heureusement sans faire de blessé.
Quelles sont les circonstances précises de l'attaque contre des militaires survenue ce jeudi 20 mars 2018 en début de matinée ? Quelles étaient les motivations du chauffeur de la voiture qui a foncé sur les hommes de la 27e Brigade d'infanterie de montagne basés à Varces en Isère ? La voiture a été retrouvée dans le quartier de l'Arlequin à Grenoble, 2 suspects ont été arrêtés.
Pour l'heure, c'est le parquet de Grenoble qui est saisi de l'enquête et pas le parquet anti-terroriste. Cet après-midi à 17 heures, le procureur de la République de Grenoble, Jean-Yves Coquillat donne une conférence de presse à suivre dans cet article.
17h16 : L'auteur est né en 1994 à Constantine, en Algérie.
17h15 : Il s'agit d'une triste et banale affaire de violence.
17h14 : La deuxième jeune femme qui était à bord n'a pas été identifiée. Des perquisitions sont en cours.
17h13 : Les résultats des analyses toxicologiques n'ont pas encore été obtenues.
17h13 : Il n'y a aucune radicalisation, il est totalement inconnu des services antiterroristes. Le parquet antiterroriste n'a pas été saisi.
17h12 : L'homme arrêté a 25 condamnations sur son casier, pour des faits de droit commun, vol, violence, rébellion et infractions routières. Il a fait deux longs séjours en prison, à la prison de Varces, près de la caserne.
17h 11 : L'homme a été interpellé alors qu'il dormait.
17h10 : Le véhicule appartient à une jeune femme stagiaire dans une crèche à proximité . Elle s'est présentée avec un oeil au beurre noir en compagnie d'un homme vraisemblablement excité et sous l'emprise de l'alcool.
17h09 : On n'est manifestement pas dans une tentative d'homicide.
17h08 : Il a foncé en leur direction mais il ne les a pas percutés, les militaires se sont juste écartés, ils n'ont pas sauté. L'un d'eux a affirmé "il a mis un coup de volant sur la droite pour nous effrayer".
17h07 : L'homme a insulté les militaires, notamment "fils de pute sale Français" et d'autres insultes, mais n'a pas poussé pas de cri à connotation religieux et n'a pas dit "Allahu akbar".
17h06 : il y a eu des échanges verbaux avec un militaire qui parlait arabe. Le conducteur a mis ses feux de détresse et a proféré des cris et des hurlements et a montré la maison d arrêt à proximité.
17h05: Il y avait un groupe de 4 militaires et un groupe de 7 militaires