Après deux mois de confinement, le Tichodrome de l'Isère s'apprête a reprendre une activité normale. Mais pour remplir sa mission de sauvegarde de la faune sauvage, il a besoin de dons et de bénévoles.
Lui aussi se prépare à reprendre une activité normale après avoir beaucoup souffert pendant le confinement. Mais à l'heure de la reprise, le Tichodrome, le centre de sauvegarde de la faune sauvage, manque de tout ou presque. Bénévoles et dons se font rares. L'association iséroise lance un appel à l'aide.
Depuis mars, le calme règne au Tichodrome de l’Isère. L’activité du centre de sauvegarde de la faune sauvage a chuté de 80%.
Avec le confinement, les volontaires et bénévoles ont été priés de rester chez eux. Seuls quatre salariés dévoués sont présents pour les urgences.
Depuis deux mois, le Tichodrome ne peux donc prendre en charge que les animaux qui peuvent être dangereux pour les particuliers ou qui nécessitent des soins urgents comme cette petite chouette hulotte, victime d’un choc avec une voiture, qu’une équipe de France 3 a pu filmer
A partir de lundi, le Tichodrome souhaite reprendre progressivement une activité normale. Mais pour cela, il lui faut de l’aide. Le centre a besoin de dons et de bénévoles pour s’occuper des animaux ou construire des abris pour les oiseaux.
Si vous êtes interressé(e-s) n’hésitez pas à vous faire connaître au 04 57 13 69 47.