Jeudi 19 octobre, à la suite d’une alerte à la bombe reçue par une école privée de Lezoux, dans le Puy-de-Dôme, les élèves ont été évacués par la gendarmerie. Les élèves d’une école voisine ont aussi été confinés. Le confinement a été levé en début d’après-midi car « aucune menace sérieuse n’a été identifiée » selon la préfecture.

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Aéroports, château de Versailles, écoles : dans le contexte actuel, les alertes à la bombe se multiplient en France. Ce jeudi 19 octobre, c’est une école privée de Lezoux dans le Puy-de-Dôme qui en a été victime. L’école du Sacré-Cœur qui compte 157 élèves a reçu une alerte à la bombe. Les enfants ont été évacués par la gendarmerie. La préfecture indique dans un communiqué : « Les élèves ont été mis en sécurité dans une salle ouverte à cet effet par les services de la mairie de Lezoux ».

 

Une école voisine confinée

Dans le cadre du plan Vigipirate, par précaution, les gendarmes ont aussi confiné les riverains, dont les élèves de l’école publique Potier Marcus. La préfecture précise : « Ces opérations ont permis également de réaliser la levée de doute. A 14h00, la levée de doute est effective : aucune menace sérieuse n’a été identifiée (confinement levé en conséquence) ». 

Des psychologues et une cellule d'écoute mis en place

L’école du Sacré-Coeur accueillera les enfants dès demain matin vendredi 20 octobre. Des psychologues de la direction diocésaine se tiendront à la disposition des parents d’élèves et des enfants. Une cellule d’écoute sera aussi mise en place pour les élèves de l’établissement scolaire voisin. Le préfet demande « de ne pas diffuser ni relayer de fausses informations ». Effectuer de fausses alertes à la bombe est passible de deux ans de prison et de 30 000 euros d’amende.

>>> Alertes à la bombe et alertes intrusion : une dizaine de lycées du Puy-de-Dôme évacués

Un peu plus tard, une dizaine de lycées du Puy-de-Dôme ont fait l’objet d’alertes à la bombe ou d’alertes intrusion. A 18 heures, des « opérations de levée de doute » étaient encore en cours, d’après la préfecture. Les établissements ont été évacués.

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