Crash d'avion à Mazoires en 2018 : malgré un rapport d'enquête les circonstances de l'accident restent inconnues

Le Bureau d'Enquête Analyse, a publié le 5 août le rapport d'enquête au sujet de l'accident du Cessna 172 survenu à Mazoires (Puy-de-Dôme), le 6 août 2018. Pour rappel les trois occupants sont décédés dans le crash. L’enquête n’a pas permis de déterminer les causes de l’accident.
 

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C'est précisément à 12h22, le 6 août 2018 qu'un Cessna 172 s'est crashé dans un champ de la petite commune de Mazoires dans le Puy-de-Dôme. À bord de l'appareil, un homme de 45 ans, et ses deux filles mineures. Tous ont péri dans l'accident. L'avion a décollé depuis l'aérodrome de Saint-Cyr-l'Ecole (Yvelines) aux alentours de 9h20 à destination de Cassagne dans le Lot. Le pilote, cumulait alors près de 520 heures de vol. Il n'était également sous l'emprise d'aucune substance lorsqu'il était aux commandes, selon des examens toxicologiques. Dans un rapport d'enquête publié le 5 août, aucune cause ou circonstance de l'accident n'a pu être déterminée.

Pour ce qui est de la météo, le rapport déclare qu'" à proximité du lieu de l’accident, la convection a pu être forte dès la matinée, générant de la turbulence. Toutefois, les cumulus puis les cumulonimbus associés à des précipitations ne se sont développés qu’à partir de 13 h 30 au nord de Mazoires et les témoins décrivent des conditions météorologiques ensoleillées, sans nuage."

Le BEA rapporte qu'aucun équipement retrouvé dans l'épave ne pourrait apporter un éclairage sur ce qu'il s'est passé. " Le C172 SP G1000 est équipé d’une avionique Garmin qui permet, lorsqu’elle est configurée, l’enregistrement de certains paramètres de vol, notamment la trajectoire GPS. Toutefois, cette fonctionnalité nécessite qu’une carte SD soit insérée en plus de la carte contenant la base de données terrain. Il a été confirmé que cela n’était pas le cas pour le F-GTNV. Le pilote utilisait sa tablette électronique portable pour préparer son vol, mais cette dernière a été détruite lors de l’accident et n’a pu être exploitée." Le mystère reste donc entier. 
 

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