Avec une quarantaine de lieux, les extras des Nuits sonores remportent un vif succès. Parmi ces sites qui vivent plutôt le jour, le jardin des Chartreux, au-dessus de la Saône.
Il y a les Nuits sonores qui se tiennent dans le chaudron post-industriel des usines Fagor-Brandt de Gerland. C'est le côté IN du festival. Et puis, il y a ces endroits plus surprenants où les effets de lumière et le volume sonore laissent la place à un mélange de surprise, d'excentricité et de musique inlassablement répétitive. C'est le côté OFF. Cette année, il attire un nouveau public à la recherche d'une ambiance et d'insolite, mais aussi de partage. Les organisateurs ont travaillé en amont du festival avec les acteurs locaux de la musique électro pour ouvrir l'éventail des propositions. Une sorte de "carte blanche". Résultat : quarante lieux proposent des animations tournées vers l'électro, parfois saugrenues, mais toujours bon enfant, comme cette voiture réaménagée en jacuzzi.
/regions/2020/06/09/5edf6050540ec_nuits_2_1-3650163.jpg)
Alexandra Marie et Eloisa Patricio ont fait un petit tour des installations :
