A la tête du volailler Doux depuis octobre 2012, Arnaud Marion accueillait ce lundi le ministre de l'Agriculture, Stéphane Le Foll, à Châteaulin. Cette visite rime avec reconnaissance pour l'homme qui a su faire repartir l'entreprise et dont Le Figaro dresse le portrait.
Arnaud Marion, businessman urgentiste, voilà comment Le Figaro décrit le directeur général du groupe volailler Doux, auquel il consacre un portrait dans son édition papier et à retrouver sur internet (version payante). Lorsqu'il prend la tête de l'entreprise en 2012, celle-ci croule sous 400 millions d'euros de dette. La tâche s'annonce alors immense, dans une région où il n'est pas forcément le bienvenu.Pourtant et comme le raconte Le Figaro, l'homme s'est totalement investi dans sa mission, ne cessant de défendre Doux auprès de ses futurs partenaires. "Je n'avais pas le droit d'échouer" explique t-il, "Sauver Doux, c'était sauver un pan de la Bretagne et de l'histoire économique française." Pari réussi. Désormais les voyants sont revenus au vert, Doux est redevenu bénéficiaire.