Les 75 salariés de la conserverie réclamaient à leur employeur chinois de meilleures indemnités de licenciement. Le refus leur a été signalé par mail.
A Quéven (56), les ex-salariés de la conserverie Minerve sont estomaqués. Licenciés, ils demandaient une augmentation de leurs indemnités de licenciement. Leur employeur chinois, le groupe American Lorain, ne proposait que le minimum légal. Eux, réclamaient 1 500 euros par personne.
Ils ont essuyé un refus… par mail. Un simple courrier électronique envoyé jeudi, vers 17h.
L'étude du plan de sauvegarde pour l'emploi doit commencer demain :