
Un réseau en fibre optique doit permettre à tous les Bretons de se connecter à internet en très haut débit, d’ici à 2025. Mais le chantier prend du retard, et des inégalités sur certains territoires. Comment éviter la fracture numérique ? Réponses dans "L'heure du débat" le 10 décembre.
La région Bretagne construit aujourd’hui ses autoroutes du numérique, avec un réseau en fibre optique qui permettra à tous les Bretons de se connecter à internet en très haut débit, d’ici à 2025. Après les voies ferrées et le réseau routier, c’est sans aucun doute le plus grand chantier d’infrastructures qu’ait connu notre région. Un chantier technologique qui prend du retard pour des raisons parfois très terre à terre…
La première cause de retard est l’élagage ! La fibre optique n’est pas toujours enterrée. Dans les communes rurales, il faut souvent la faire passer dans les airs. Pour cela, il faut couper des arbres et retrouver le propriétaire n’est pas toujours simple. Trouver du personnel qualifié pour poser ces fibres optiques est également difficile. En attendant, l’écart se creuse entre des grandes villes hyper connectées et des communes rurales aux connexions lentes…
Alors, comment éviter la fracture numérique ? Et que peut apporter le très haut débit aux communes rurales ? Quel sera l’impact sur l’économie régionale ? Réponses dans l'émission "L'heure du débat" le dimanche 10 décembre 2017, à 11 h avec Loïg Chesnais Girard, président de la région Bretagne et président de Megalis Bretagne, le syndicat mixte qui supervise la construction du réseau breton à très haut débit, Stéphane de Sallier Dupin, conseiller régional et membre de la commission commercialisation, exploitation et cohérence régionale des déploiements à Megalis Bretagne.
La première cause de retard est l’élagage ! La fibre optique n’est pas toujours enterrée. Dans les communes rurales, il faut souvent la faire passer dans les airs. Pour cela, il faut couper des arbres et retrouver le propriétaire n’est pas toujours simple. Trouver du personnel qualifié pour poser ces fibres optiques est également difficile. En attendant, l’écart se creuse entre des grandes villes hyper connectées et des communes rurales aux connexions lentes…
Alors, comment éviter la fracture numérique ? Et que peut apporter le très haut débit aux communes rurales ? Quel sera l’impact sur l’économie régionale ? Réponses dans l'émission "L'heure du débat" le dimanche 10 décembre 2017, à 11 h avec Loïg Chesnais Girard, président de la région Bretagne et président de Megalis Bretagne, le syndicat mixte qui supervise la construction du réseau breton à très haut débit, Stéphane de Sallier Dupin, conseiller régional et membre de la commission commercialisation, exploitation et cohérence régionale des déploiements à Megalis Bretagne.
Revoir l'émission