Depuis la mise en service de la LGV le 2 juillet dernier, les riverains subissent des nuisances sonores bien plus importantes que ce qu'avait annoncé la SNCF.
Avec un rythme de passage de 4O trains TGV minimum par jour, le quotidien de certains habitants proches des rails de la ligne grande vitesse Rennes - Paris, est devenu pénible.
Le bruit est plus important avec des vitesses plus grande.
La Sncf avait dit que le niveau sonore ne dépasserait en tout cas pas 60 dB. Mais il y a des "trous" dans les protections des zones d'habitation (de hauts talus de terre : les merlons).
C'est par exemple le cas du coté de Domagné en Ille et-Vilaine ou une association s'organise, avec l'association des maires concernés, pour faire des mesures de bruits.
C'est d'abord un problème de santé des riverains, mais sans amélioration, ce sont aussi les prix de l'immobilier qui pourraient dérailler.