Combien en reste-t-il en Bretagne? Deux, trois, peut-être quatre? Le métier traditionnel de sabotier a survécu à la modernité. A Camors dans le Morbihan, Claude Simon continue d'exercer son métier avec passion... Une passion qu'il partage en ouvrant son atelier au public.
Voilà un métier traditionnel qui a survécu à la modernité: celui de sabotier Il n'en reste désormais qu'une poignée en Bretagne qui arrivent à en vivre. Pourtant en 1960 à Vannes, il se vendait les jours de marché près de 5000 paires de sabots.
Le village de Camors en a compté jusqu'à une centaine au début du siècle. Aujourd'hui, il n'en reste plus qu'un, Claude Simon.
Il a pris la succession de son père, et dans son atelier rien n'a changé ou presque: même techniques, même matière première - le bois de hêtre - même gestes.
Son atelier est ouvert tous les jeudi soir de l'été, à partir de 18h.