Millésime exceptionnel pour cette 34e édition du festival Aucard de Tours, avec un final en apothéose grâce notamment à Pongo, qui a séduit bon nombre de spectateurs. Le passage de la tempête Miguel n'a pas gâché la fête.
Les dernières notes de musique ont résonné ce dimanche 9 juin à la plaine de la Gloriette, pour terminer en beauté cette 34e édition du festival Aucard de Tours, qui a attiré les foules dans le quartier des deux lions. Il a même fallu parfois refuser du monde.
Pas moins de trente concerts étaient programmés cinq jours durant, sur le thème "On nous cache tout, on nous dit rien ! ". Il s'agissait de faire un pied de nez aux complotismes en tous genres.
Parmi les artistes sur scène, beaucoup de locaux, comme Cadillac dont le concert a été décalé, faute à un certain Miguel, mais le passage de la tempête aura finalement été à peine ressenti, l'organisation a su agir et réagir en fonction des bourrasques de vent.
La Gloriette affichait complet le samedi, avec notamment le retour, très attendu, des Orléanais de la Ruda, qui n'ont rien perdu de leur son rock festif:
Grosse affluence également le dimanche, avec un moment magique sous le grand chapiteau: Artiste Angolaise, Pongo a enflammé la scène, sous les yeux de notre journaliste Jean-Phlippe Elme, qui a sauté et vibré avec le public.
Il lui aura suffi d'un morceau pour faire décoller l’ambiance, une heure de pure énergie avec un final en apothéose, et un public sur scène qui danse.
Une belle synthèse de ces 5 jours de festival, de fête, avec la joie, la folie et le bonheur d’être vivant, ensemble.