Nino Ferrer se raconte à travers des images d'archives inédites et des interviews radios.
A la fin des années 70, Nino Ferrer décide de quitter Paris et s’installe à Montcuq, petit village du Lot.
En 52 minutes, "Douce France Nino Ferrer" nous livre un portrait intime de l’artiste,
Nino Ferrer se raconte à travers des images d’archives inédites et des interviews radios. Il évoque sa façon de travailler, sa vie de famille, sa passion pour l’archéologie, son amour pour la région…
De nombreuses interviews de proches de Nino Ferrer apportent un nouvel éclairage sur sa personnalité. Sa femme et ses enfants évoquent leur vie à « La Taillade », propriété dans laquelle il composait et enregistrait ses albums. Ses voisins témoignent de ses activités et habitudes dans la région. Ses amis décrivent l’homme secret, amoureux de la nature et engagé qu’il était. Il a rapidement trouvé sa place dans ce petit village et n’a cessé de le promouvoir et le défendre. En 1989, il enregistre une version de la Marseillaise avec la chorale de Montcuq. Il va aussi y développer un autre de ses talents : la peinture.
A travers le portrait de Nino Ferrer se dessine celui de sa région d’adoption. Ces images sont tournées aujourd’hui et donnent au documentaire un rythme et un ton très actuel. Des « encadrés », véritables rencontres privilégiées avec des personnalités régionales ponctuent le film. Ils permettent de découvrir certaines spécialités culinaires de la région : armagnac et truffes. Mais aussi la grotte de Roland que Nino Ferrer dont le premier métier était archéologue connaissait particulièrement bien.
Le documentaire est entrecoupé d’extraits des plus grands tubes de Nino Ferrer : « Le Sud », « Mirza », « Les cornichons », « Le téléfon ». Jacques Pessis, spécialiste de la chanson française assure le récit « off » du film en apportant détails biographiques ou régionaux.
Réalisation : Laurent Lichtenstein
Ecrit et raconté par : Jacques Pessis
Production : France Télévisions / P6 Productions
Durée :