Dans un communiqué publié le 10 mars, les syndicats de police dénoncent des "déclaration mensongères" dans l'affaire Maxime Beux, le jeune supporter bastiais blessé à l'oeil lors des échauffourées à Reims après le match Reims-Bastia le 13 février dernier.
Dans ce communiqué, les syndicats de police rappellent le principe de présomption d'innocence, appelant à n'accuser personne tant que "l'enquête est en cours". Les forces de l'ordre disent regretter d'être assimilée à une "milice" alors qu'elle est "au service de la population" et met "tout en oeuvre pour le maintien de la paix"
"Depuis deux saisons de Ligue 1, une prise en compte particulière de ces groupes de supporters ultras est devenue indispensable", peut-on lire dans ce communiqué.