Jouez avec France 3 Alsace, nous vous offrons deux invitations pour le vendredi 7 mars à 20h00 au PMC de Strasbourg.
L'équilibre vers la modernité, c'est ce que vous propose Steven Osborne, pianiste britannique se montrant aussi à l'aise avec des oeuvres du répertoire
Mozart, Brahms ou Beethoven, que dans des choix plus contemporains, Britten ou Messiaen. En se consacrant sous la direction de Kazuki Yamada au Concerto pour piano et orchestre n°24 en ut mineur de Mozart, il aborde une oeuvre célèbre, mais dont l’instrumentation confirme l’intensité de l’expression tout en gardant le bel équilibre entre le piano et l’orchestre. Une structure équilibrée, révélatrice d’une grande maturité mais aussi d’un souci à la fois d’expressivité et de modernité, caractérise aussi bien la Symphonie n°9 « Du Nouveau Monde » en mi mineur de Antonín Dvorák que l’intense A Flock Descends into the Pentagonal Garden de Toru Takemitsu. Ce mouvement qui part de l’Europe vers les États-Unis, de Mozart à la grande oeuvre américaine que Dvorák a créée au Carnegie Hall de New York en 1893, avant d’arriver en Asie, et la très belle synthèse que propose le compositeur japonais sur la base de ses influences Debussy, Cage et Messiaen, raconte une certaine histoire du monde sur plus de deux siècles.
Mozart, Brahms ou Beethoven, que dans des choix plus contemporains, Britten ou Messiaen. En se consacrant sous la direction de Kazuki Yamada au Concerto pour piano et orchestre n°24 en ut mineur de Mozart, il aborde une oeuvre célèbre, mais dont l’instrumentation confirme l’intensité de l’expression tout en gardant le bel équilibre entre le piano et l’orchestre. Une structure équilibrée, révélatrice d’une grande maturité mais aussi d’un souci à la fois d’expressivité et de modernité, caractérise aussi bien la Symphonie n°9 « Du Nouveau Monde » en mi mineur de Antonín Dvorák que l’intense A Flock Descends into the Pentagonal Garden de Toru Takemitsu. Ce mouvement qui part de l’Europe vers les États-Unis, de Mozart à la grande oeuvre américaine que Dvorák a créée au Carnegie Hall de New York en 1893, avant d’arriver en Asie, et la très belle synthèse que propose le compositeur japonais sur la base de ses influences Debussy, Cage et Messiaen, raconte une certaine histoire du monde sur plus de deux siècles.