Reconstitution ce matin du meurtre de Gamze Yavuziylmaz, rue de Wasselonne à Strasbourg

La reconstitution a démarré ce jeudi matin à 9h30 en présence de la Police criminelle, des juges et des avocats. La rue a été  bouclée. La famille de Gamze, présente, n'a pas été autorisée à assister à la reconstitution. La meurtrière présumée est arrivée sur place dans un fourgon (voir photo).

L'essentiel du jour : notre sélection exclusive
Chaque jour, notre rédaction vous réserve le meilleur de l'info régionale. Une sélection rien que pour vous, pour rester en lien avec vos régions.
France Télévisions utilise votre adresse e-mail afin de vous envoyer la newsletter "L'essentiel du jour : notre sélection exclusive". Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien en bas de cette newsletter. Notre politique de confidentialité

La rue de Wasselonne à Strasbourg est bouclée depuis 9h30 et demi ce matin. C'est ici que la jeune Gamze Yavuzilmaz a été poignardée à mort le 14 avril, dans l'entrée de l'immeuble dans lequel elle habitait avec sa famille. Sur place aujourd'hui, agents de la police criminelle, juges, et avocats vont tenter de comprendre précisément les circonstances de la mort de la jeune femme de 19 ans.

Son agresseur présumée, une jeune fille âgée de 15 ans, est arrivée sur place dans un fourgon de police. Les proches de la victime n'ont pas été autorisés à assister à la reconstitution, mais ont tenu à se rendre sur place.

Le soir du 14 avril, c'était à priori une futile querelle entre les deux jeunes femmes qui se connaissaient, autour de quelques euros et d'un sac de marque, qui avait conduit au drame.

Reportage : Fraize Grégory, Gosset Jérôme et Ledig Pierre. Interviews : - Valdemiro Penas, Beau-père de la victime - Delphine Akinsi, Tante de la victime


Gamze, une jeune femme d'origine turque de 19 ans, a été tuée le 14 avril de plusieurs coups de couteau assénés par une amie âgée de 15 ans seulement. Le meurtre et son mobile, "une dette de faible valeur", selon le parquet de Strasbourg, avaient suscité émotion et incompréhension dans la métropole alsacienne. Son corps ne présentait pas moins une dizaine de plaies. La victime et son agresseuse se connaissaient depuis six mois. Sa meurtrière présumée avait été mise en examen pour "assassinat" et écrouée, l'acte semblait avoir été prémédité.
Voir notre article lors de la marche blanche organisée par la famille.

Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Veuillez choisir une région
France Télévisions utilise votre adresse e-mail pour vous envoyer la newsletter de votre région. Vous pouvez vous désabonner à tout moment via le lien en bas de ces newsletters. Notre politique de confidentialité
Je veux en savoir plus sur
le sujet
Veuillez choisir une région
en region
Veuillez choisir une région
sélectionner une région ou un sujet pour confirmer
Toute l'information