Dans un communiqué, le CHU de Reims indique que "l'établissement n’entend pas se pourvoir en cassation contre cette décision de justice et se conformera à l’injonction qui lui a été faite."
Il ajoute que "le Centre Hospitalier Universitaire de Reims prend acte des termes de l'arrêt rendu par la Cour administrative d'appel de Nancy, lui enjoignant de « mettre le Docteur Simon, ou tout autre praticien susceptible de lui succéder, en mesure de répondre aux obligations lui incombant vis-à-vis de M. Vincent Lambert en vertu du code de la santé publique »."
Enfin, "le CHU de Reims rappelle son souci constant de protéger l’intimité des patients dont il assure la prise en charge et d’assurer la protection de ses personnels médicaux et soignants dans l’exercice de leurs missions."