La matinée de ce jeudi 2 mars 2017 a été difficile pour les 20.000 frontaliers-voyageurs quotidiens de la ligne TER entre Metz et le Luxembourg. De nombreux cheminots ont fait valoir leur droit de retrait. En cause : de "nouveaux éléments de l'enquête" suite à l'accident de Dudelange.
Ils sont 20.000 travailleurs frontaliers à emprunter la ligne Metz-Luxembourg.
Et de nouveau l'accident de Dudelange le 14 février a gravement impacté la circulation sur la ligne ce jeudi 2 mars 2017.
Pour les besoins de l'enquête, tout d'abord, l'une des 2 voies luxembourgeoise "étant interdite à la circulation depuis mardi soir" à cette effet, mais églement en raison du "droit de retrait" exprimé, côté français, par les salariés SNCF.
Alors que la circulation avait pu reprendre tant bien que mal sur la ligne, des perturbations "importantes" se sont donc de nouveau produites jeudi 2 mars 2017.
Après avoir pris connaissance de "nouveaux éléments" de l'enquête hier soir, de nombreux cheminots ont fait valoir à nouveau leur droit de retrait.
La SNCF annonce la mise en place de solution. Suivre pour cela le compte Twitter @DidierWALLERICH et le site internet du TER Lorraine.
Avec les conséquences que l'on devine sur le trafic ferroviaire, mais également sur le réseau routier, l'A 31 étant déjà par nature très fréquentée.