Notre journaliste Jean-Paul Delance qui a beaucoup travaillé sur les commémorations, a tenu à rendre un hommage poétique aux victimes de ce conflit.
"La vie coulait paisible et nous étions heureux mais par un jour d'été la cloche du village envoya à la guerre les hommes de tous âges qui sans beaucoup d'espoir durent faire leurs adieux".Pour clore sa participation aux quatre années de Commémorations de la Grande Guerre, notre journaliste Jean-Paul Delance a tenu à rendre hommage à tous les morts de ce conflit qui a ensanglanté le monde sans qu'on en comprenne encore, cent ans ans plus tard, les raisons.
Féru d'histoire mais aussi grand russophile, c'est sur La Marche Funèbre de Piotr Tchaïkovski que Jean-Paul a choisi de déposer délicatement ses mots sur les maux des français de l'époque, mais pas seulement.
Avec grand courage nous avons affronté le feu de l'ennemi et le froid de l'hiver, nous n'étions plus en vie mais déjà en enfer