Depuis le début de la réforme, la ville de Compiègne a fait de la résistance aux nouveaux rythmes scolaires. Finalement fin juin, la municipalité avait cédé, sans préciser son organisation pour la rentrée. Le 2 septembre, les parents d'élèves ont découvert que la mairie assurait le service minimum.
Le temps dévolu aux activités périscolaire n'est qu'une simple garderie, au grand dam des parents d'élèves.
Avec Philippe Marini, sénateur-maire (UMP) de Compiègne et Sylvie Oger-Dugat, adjointe-au-maire en charge de la Vie scolaire/Reportage de Jean-Pierre Rey et Emilie Gouveia