4 Canadair autorisés à reprendre du service en France

4 des 11 Canadair français ont été remis en vol lundi tandis que le reste de la flotte, immobilisée depuis un incident sur un appareil le 1er août, "devrait pouvoir être remis en ligne progressivement dans un délai de dix jours", a indiqué la Sécurité civile.

L'essentiel du jour : notre sélection exclusive
Chaque jour, notre rédaction vous réserve le meilleur de l'info régionale. Une sélection rien que pour vous, pour rester en lien avec vos régions.
France Télévisions utilise votre adresse e-mail afin de vous envoyer la newsletter "L'essentiel du jour : notre sélection exclusive". Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien en bas de cette newsletter. Notre politique de confidentialité

Après des vérifications, "trois Canadair ont pu être remis en vol dès ce (lundi) matin et un quatrième sera disponible (ce lundi) après-midi, à l'issue d'opérations de maintenance", écrit la Sécurité civile dans un communiqué daté d'hier.

Toute la flotte des Canadair opérationnelle d'ici 10 à 12 jours


"Sous réserve du résultat des inspections complémentaires, le reste de la flotte - à l'exception de l'avion accidenté - devrait pouvoir être remis en ligne progressivement, dans un délai de 10 à 12 jours", est-il précisé dans ce communiqué.

La remise en service des premiers Canadair permet d'envisager, pour les prochains jours, un allègement du dispositif terrestre" sur le continent, tandis qu'en Corse, "l'avion Canadair italien prépositionné à Ajaccio (...) sera renforcé dès (lundi) après-midi par l'un des avions français remis en vol", selon la Sécurité civile.


Les 12 appareils de la flotte de Canadair de la Sécurité civile font l'objet d'une inspection après la rupture du train d'atterrissage d'un appareil "lors d'une manoeuvre pendant la phase de roulage" sur une piste de l'aéroport d'Ajaccio le 1er août.

"Sans préjudice des conclusions finales du Bureau enquêtes accidents de la défense-Air, les analyses techniques menées par la Direction générale de l'armement du ministère de la Défense ont permis, à ce stade, de déterminer plusieurs hypothèses sur les causes techniques de l'accident", selon le communiqué.

Des vérifications complémentaires impliquant "le démontage d'éléments de trains d'atterrissage et leur envoi en atelier" doivent être réalisées, sauf pour "les avions pour lesquels les pièces concernées ont réalisé moins de 1.000 cycles (décollage-atterrissage)", indique la Sécurité civile.
Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Veuillez choisir une région
France Télévisions utilise votre adresse e-mail pour vous envoyer la newsletter de votre région. Vous pouvez vous désabonner à tout moment via le lien en bas de ces newsletters. Notre politique de confidentialité
Je veux en savoir plus sur
le sujet
Veuillez choisir une région
en region
Veuillez choisir une région
sélectionner une région ou un sujet pour confirmer
Toute l'information