21 personnes sur les 76 que l'entreprise veut transférer à Montoir-de-Bretagne et qui refusent toujours de quitter le site de Rocquancourt dans le Calvados, siège historique de l'entreprise de recyclage.
Après plus d'un an de discussions et d'interventions des élus, GDE est toujours décidé à délocaliser certains postes de son siège social en Loire-Atlantique.
Mais certains des salariés concernés refusent de quitter la région. Ils ont intenté une action en référé contre leur employeur devant le conseil de Prud’hommes de Caen, demandant la suspension de la clause de mobilité et l’application du Plan de sauvegarde de l’emploi aux personnes qui seraient licenciées après leur refus d'aller à Montoir.
Le conseil des prud’hommes rendra sa décision le mardi 18 juin.
Reportage, Alexandra Huctin et Franck Bodereau :