Le film de l'islandais Baltasar Kormákur a fait l'ouverture de la 41ème édition du festival américain de Deauville. Un film à grand spectacle, inspiré d'une histoire vraie, entièrement tourné en 3D. De quoi donner le vertige aux critiques ?
- L'histoire
Peut-on s'identifier à cette histoire ? Même si le sujet peut sembler lointain, surtout pour les adeptes de la mer, les personnages nous parlent. Le récit montre à quel point la société nous pousse parfois à aller au-delà de nos limites.
- Les critiques
"C'est une belle aventure humaine. On y croit. La 3D se justifie et joue bien son rôle en nous montrant de somptueux paysages. On se gèle même avec eux. Même si c'est inspiré d'une histoire vraie et qu'à priori, on connaît la fin, le suspens est bien maintenu. Mais il demeure une question : Pourquoi ?"
Gérard Delorme de Première :
"Le film est dense, et nous délivre une quantité d'informations techniques parfois inutiles, assaisonnées autant que possible des histoires dramatiques de chacun des personnages pour leur donner de l'épaisseur. Au milieu de cette profusion, un thème se dégage, souligné par la déclaration d'un grimpeur russe: "La montagne a toujours le dernier mot" ... la suite de sa critique
Aurélien Ferenczi de Télérama -
"Le « basé sur une histoire vraie » montre ici ses limites : l'obligation de respecter les morts et leurs familles, mais aussi les rescapés éclopés, nuit fortement au récit. C'est dommage parce que, atmosphériquement, le job est fait : quelques bourrasques dans les salles et ce serait vraiment comme si on y était !" ... la suite de sa critique
L'équipe du film à Deauville, le 4 septembre
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