Elections européennes : Ingrid Levavasseur ne sera pas tête de liste du Ralliement d'initiative citoyenne

La gilet jaune Ingrid Levavasseur a annoncé ce mercredi 13 février abandonner la liste du "Ralliement d'initiative citoyenne" (RIC) qu'elle entendait mener pour les élections européennes. Elle ne renonce pas pour autant à ce scrutin. 

Société
De la vie quotidienne aux grands enjeux, découvrez les sujets qui font la société locale, comme la justice, l’éducation, la santé et la famille.
France Télévisions utilise votre adresse e-mail afin de vous envoyer la newsletter "Société". Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien en bas de cette newsletter. Notre politique de confidentialité

Questionnée en introduction de l'émission "La Grande explication" sur LCI sur la possibilité qu'elle "démissionne" de la tête de liste, Ingrid Levavasseur a répondu:

Je ne renonce pas aux européennes mais je repars sur de bonnes bases, des bases lisses avec mes concitoyens et mes concitoyennes gilets jaunes ou non, on repart à zéro.

Le 25 janvier, Ingrid Levavasseur avait expliqué qu'elle allait à Bruxelles pour "intégrer le système" et y "faire remonter la voix du citoyen".  
 
Interrogée sur d'éventuelles divisions ayant mené à cette décision, l'aide-soignante de l'Eure a assuré: "Absolument pas, j'ai des compagnons qui me suivent, on lisse juste le nom Ralliement d'Initiative Citoyenne (RIC) et on repart sur de bonnes bases".

Sur les réseaux sociaux, la jeune femme de 31 ans insistait sur son compte Twitter : "Je me désolidarise officiellement du ralliement d'initiative citoyenne (ce qui ne veut pas dire que je renonce à présenter une liste pour les Européennes)".

    La liste RIC a depuis sa création en janvier essuyé plusieurs déconvenues.
  • le dieppois Hayk Shahinyan, avait annoncé "prendre du recul" fin janvier en renonçant à son rôle de directeur de la campagne.
  • Deux membres de la liste avaient ensuite annoncé renoncer, le 31 janvier: Brigitte Lapeyronie, brièvement encartée à l'UDI qui avait déploré "que sa candidature aux européennes lui imposait d'abandonner la défense des salariés"; et Marc Doyer, qui disait avoir été la cible de menaces de mort et de "fake news" en raison de son soutien passé à Emmanuel Macron.




 
Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Veuillez choisir une région
France Télévisions utilise votre adresse e-mail pour vous envoyer la newsletter de votre région. Vous pouvez vous désabonner à tout moment via le lien en bas de ces newsletters. Notre politique de confidentialité
Je veux en savoir plus sur
le sujet
Veuillez choisir une région
en region
Veuillez choisir une région
sélectionner une région ou un sujet pour confirmer
Toute l'information