Le jeune garçon ne dispose de l'aide d'un AVS que 9 heures par semaine et ne peut donc pas suivre une scolarité normale.
Le candidat Macron voulait faire du handicap sa priorité et les parents de Léo s'en souviennent. Ce petit garçon handicapé est scolarisé en milieu dit ordinaire 9 heures par semaine dont 6 assurées par une auxiliaire de vie scolaire (AVS), les 3 autres étant assumées par ses parents. Ces derniers réclament aujourd'hui plus d'heures d'AVS mais surtout un soutien et une écoute. Du côté de la Maison départementale des personnes handicapées de la Seine Maritime (MDPH), on explique que l'enfant a aussi besoin d'autonomie.
Nous n'avons pu voir Léo en classe, le Rectorat Normand ayant refusé.
VIDÉO : le reportage d'Émilie Leconte et Jean Luc Drouin avec les interviews de
- Julien et Anne-Sophie, parents de Léo
- Fabienne Outtier, Directrice de la maison départementale du handicap de Seine-Maritime