D'après ses proches, ce père de famille âgé de 53 ans, gérait un service en sous-effectif et souffrait lui-même de ce manque d'effectifs. "C'était un homme bon et généreux, explique son beau-père. Il ne pouvait pas exercer son travail comme il le souhaitait."
La famille se bat aujourd'hui pour que son suicide soit reconnu comme accident du travail.
Marche silencieuse
Environ 200 personnes, collègues, amis, syndicats mais aussi le Président du comité de surveillance de l'hôpital, Yves Gouasdoué, ont pris part à la marche silencieuse pour lui rendre hommage.L'interview de Jean-Marie Fortin, le beau-père de Christophe
Marche silencieuse à Flers (Orne) : le témoignage du beau-père de Christophe