Les employés de Alinéa Barentin sont en grève pour réclamer de meilleures indemnités de licenciement. J. Hélion et M. El Yaakabi / France Télévisions
En redressement judiciaire depuis le 14 mai 2020, le président du conseil de surveillance de la filiale Alexis Mulliez a décidé de reprendre 7 des 26 établissements de la filiale.
Plus d'indemnités
Les salariés de Barentin sont particulièrement inquiets quant à leurs indemnités de licenciement. "1 000 euros par années de travail ce serait le minimum ! ", s'exclame Daniel Cascella, délégué CFTC du personnel.
Ils espèrent que la fermeture de l’enseigne n’en entrainera pas d’autres au sein d’une zone commerciale qui génère plus de 3 000 emplois.
La décision finale sera rendue par le tribunal correctionnel de Marseille le 31 août 2020.Il y a de réelles inquiétudes sur le fait par exemple que les enseignes comme André et Courtepaille au niveau national sont soumises aussi à des menaces de licenciement massif, à des disparitions de magasins, donc il faut rester très vigilant.