Invitée ce mardi (19 septembre 2017) du JT 19/20 de France 3 Normandie, l'ancienne ministre des sports a rappelé le rôle joué, dès 2012, par son équipe pour la candidature de la France
Le choix de Paris pour les Jeux Olympiques de 2014 a été, la semaine dernière, une grande nouvelle, unanimement saluée et fêtée.
Présente à Lima, au Pérou, Valérie Fourneyron, a vécu intensément l'annonce du choix de Paris. Cette victoire de la France, c'est un peu la sienne puisque la candidature de la France a été, en effet, initiée sous la présidence de François Hollande :
La première pierre a été posée quand j'étais ministre des sports.
C'est vrai que c'est à ce moment-là, en 2012, qu'on a essayé d'analyser les raisons des échecs successifs dans les différentes candidatures que la France a présenté et qu'on a essayé d'avoir une nouvelle stratégie appuyée sur le mouvement sportif
A Lima, au sein de la "famille olympique" elle raconte avoir eu beaucoup de joie et aussi de l'émotion.
D'ici là, durant les 7 années à venir, Valérie Fourneyron déclare qu'il y a un gros travail à faire, notamment en Normandie, où le passage de la flamme olympique reste à organiser, au-delà des clivages politiques.
"L'éthique, c'est essentiel"
Quant à son avenir, l'ancienne ministre des sports a rappelé qu'en tant que médecin du sport, le dopage est "son combat de toujours". Valérie Fourneyron a confié qu'il se pourrait, dans les semaines qui viennent, qu'elle prenne des "responsabilités à la tête d'une organisation pour contrôler tous les tests antidopage à l'international."VIDEO : extrait du JT 19/20 de France 3 Normandie du mardi 19 septembre 2017 présenté par Frédéric Nicolas