Si vous y êtes, on vous les souhaite parfaitement agréables et délicieuses. Mais, il suffit d’un grain de sable, ou d’un gros galet, pour gâcher vos vacances en Normandie. Ça pourrait aussi vous arriver, alors regardez les pièges à éviter pour passer un été parfait.
L'accident bête
La météo capricieuse
Vous avez tout. La crème, les lunettes de soleil, votre plus beau bob offert par la caravane du Tour de France. Et crac. Orage, ô désespoir. Un déluge de grêle s'abat sur vous. L'été dernier, la région a été traversée par de violents orages, et les dégâts ont été conséquents. "Gros comme une balle de tennis", "de la taille d'une balle de ping-pong", choisissez votre sport, quoiqu'il en soit, en un quart d'heure, vos vacances peuvent basculer.
Cette année, au mois de juillet, nous sommes passés de l'un à l'autre. Records de températures à Dieppe (38°) et à Rouen (37,9°), et puis la dégringolade à la fin du mois, près de 6 degrés dans la nuit du 28 au 29 juillet. Nos confrères de Normandie Actu ont contacté Météo France qui parle de « températures de saison anormalement basses ».
Et, il y a ceux qui ont eu vraiment chaud. Notamment dans l'Eure, où l'on a assisté à des moissons torrides. En un mois, près de 500 hectares de champs y sont partis en fumée. A La Boissière (27), les pompiers ont réussi à stopper les flammes à seulement quelques centimètres d'habitations et de bungalows.
Traverser la Seine un jour de blocage des agriculteurs
Que l'on soutienne, ou non, la cause de l'agriculture française, il fallait prendre son mal en patience. Sur le pont de Normandie, en tout cas, ça en valait la peine puisque pendant les barrages filtrants des agriculteurs, le péage était gratuit !
Allô ? Allô ? Le réseau aux abonnés absents
Et vous, dans tout ça ?
Bien évidemment, la rédaction de France 3 Haute-Normandie vous souhaite de belles vacances dans la région.
Et si jamais, vous aussi, vous avez eu quelques déboires en vadrouille, - sur le moment, ce n'est pas très agréable, mais aujourd'hui vous en souriez - alors racontez-le nous.