L'affaire est bien connue dans la cité limousine. Un buraliste d'un centre commercial de la ville vendait des cigarettes à une jeune fille de 17 ans, lorsque sa mère a décidé de porter plainte contre celui-ci.
Peu après sa décision d'aller en justice, la plaignante s'était ravisée, expliquant être victime de menaces et de pressions extérieures.
Le comité national anti-tabac s'était joint à son combat, et avait décidé, de son côté, de continuer sa lutte. Fin 2011, le buraliste a été condamné par le tribunal de police mais dispensé de peine. La cour d'appel vient de confirmer cette décision, mais le comité ne souhaite pas abandonner. Il annonce qu'il va se pourvoir en cassation.
Toute l'information