Olivier Falorni a été pendant huit ans l'organisateur de ces journées à La Rochelle. Exclu du PS après sa victoire aux législatives de juin 2012, il entend bien de ne pas se taire pendant ce rendez-vous rochelais. Comme l'an passé, il organise un "off", ateliers, débats et rencontres au programme.
"Je n'ai pas l'intention de raser les murs ni à La Rochelle, ni ailleurs" affirme le député de La Rochelle/Ré, aujourd'hui apparenté PRG, qui veut profiter de la présence de nombreux ministres du gouvernement à La Rochelle pour "faire son travail de député" mais aussi rencontrer des amis "car j'ai beaucoup d'amis au Parti Socialiste".
Extrait du JT du 21/08/13. France 3 Poitou-Charentes
"C'est le combat des maux qu'il faut mener"
Olivier Falorni entend bien faire "de la politique" dans les ateliers qu'il organise et garder sa liberté de parole vis à vis de l'action gouvernementale: "c'est d'abord le combat des maux qu'il faut mener aujourd'hui. C'est à dire régler les problèmes de chômage et de sécurité, c'est comme celà qu'on parviendra à faire régresser le Front National".Olivier Falorni affirme par ailleurs ne pas comprendre la haro sur Manuel Valls, "la sécurité est une liberté, il faut la défendre", à l'instar du PRG, groupe parlementaire auquel il est apparenté, olivier Falorni fait partie des soutiens de Manuel Valls.
Pour retrouver l'intégralité de l'interview d'Olivier Falorni réalisée par Patricia Périn, le JT du 21/08/13 de France 3 Poitou-Charentes