Agréés par les Nations Unies, ils se préparent à rejoindre, avec 25 de leurs homologues belges, la coordination qui s’organise à Tacloban, sur l’île de Leyte, extrêmement touchée par le cyclone Haiyan.Cette ville portuaire se trouvait sur la trajectoire du typhon à sa puissance maximum
La ville de Tacloban dévastée
Les victimes se comptent aujourd’hui par milliers dans cette zone dévastée par le cyclone, l’un des plus puissants à s’être produits sur la planète depuis des décennies, avec des vents ayant atteint les 315km/h et des vagues de plus de 3m de haut.Les dégâts seraient similaires à ceux du tsunami de 2004.
Le cyclone se dirige vers le Viêt Nam qui se prépare au pire.
Une totale autonomie sur place pour 10 jours
Matériel de secours médical, groupes électrogènes, unité de production d’eau potable, de l’eau, nourriture…ce sont plusieurs tonnes qu’ils s’apprêtent à embarquer.
Les dégats sont tels sur place qu’ils devront être en totale autonomie et ce pendant dix jours.
Un départ conjoint avec une unité belge
25 pompiers belges partent également à leurs côtés.Un départ conjoint qui rend possible un vol en airbus A330, au départ de Bruxelles ou de Limoges.
Dans cette seconde hypothèse, ce serait sept heures gagnées sur leur arrivée.
L’arrivée d’un tel airbus serait également une première pour l’aéroport de Limoges-Bellegarde.
Les Nations Unies organisent les secours sur place.
Les Pompiers de l’Urgence Internationale pourront se poser directement dans la zone sinistrée, où ils recevront ensuite leur affectation.