Ces jeunes scientifiques étudiant une zone humide naturelle contaminée près d’un ancien site minier autrefois exploité par Cogema (France) ont découvert que l’uranium pouvait s’écouler dans les eaux environnantes dans certaines circonstances
Un article a été publié fin décembre dans la revue scientifique " Nature Communications". Ses auteurs expliquent comment l'uranium est capable de s’échapper d’un terrain humide sur de minuscules composés métalliques et organiques, et ce grâce à un coup de pouce des bactéries du milieu environnant.
Cette étude a été réalisée en collaboration avec un organisme de recherche allemand (HZDR)et Areva en France.
Voici l'un des ruisseaux qui a été étudié par les étudiants de l'EPFL dans le cadre de cette enquête: