Plus de 500 prélèvements ADN avaient été effectués afin de tenter d'identifier l'agresseur d'une lycéenne, violée dans les toilettes du lycée Fénelon de La Rochelle. La procureure de la République Isabelle Pagenelle a fait savoir que les résultats se sont avérés négatifs.
Les 539 prélèvements ADN effectués en avril au lycée Fénelon de la Rochelle n'ont donc rien donné a indiqué ce mercredi en fin d'après-midi la procureure de la République Isabelle Pagenelle confirmant ainsi l'information de nos confrères d'Europe 1.
Il s'agissait de retrouver l'agresseur d'un lycéenne, violée dans les toilettes de l'établissement.
Elèves, professeurs et personnels techniques présents pour la plupart le jour de l'agression dans l'établissement avaient subi ces tests génétiques au cours d'un opération rarissime à cette échelle. Aucune correspondance n'a pu être établie avec l'ADN retrouvée sur la victime.
Selon nos informations, il reste cependant trois tests à analyser et quelques autres à effectuer sur des personnes absentes au moment des prélèvements.