A partir de ce soir, Altia aura donc disparu, on parlera de Steva. L'accord de reprise par la société de Philippe Lassablière a été signé le 12 janvier dernier. Il prévoit des suppressions de postes.
L'accord prévoit 43 suppressions de postes sur 148, dont 16 licenciements. Mais ce chiffre pourrait être réduit : parmi les licenciements, certains postes sont occupés par des salariés protégés en raison de leurs mandats syndicaux. D'autres licenciements pourrait être évités si Renault maintient son activité sur le site de Bessines.
Bruno Grimaux, le secrétaire FO du CE d'Altia Bessines estime que l'usine repart "avec un vrai projet industriel"