A quoi sert le QR-Code affiché sur vos écrans lors de nos journaux ou émissions ?

Vous l'avez probablement remarqué, depuis quelques semaines, nous affichons et vous proposons un objet visuel en bas à droite de vos écrans lors de certains reportages dans vos journaux ou émissions. On vous en dit plus ici.

Les rédactions de France 3 vous invitent désormais à "flasher" le QR-Code situé en bas de vos écrans lors de la diffusion de certains reportages ou émissions du groupe France Télévisions.

A quoi ça sert ? Comment ça marche ?

Dans une démarche de proximité et de lien avec nos téléspectateurs, les rédactions de France 3 vous invitent à scanner le QR-Code affiché en bas à droite de l'écran. Pour cela, il vous suffit de vous munir de votre smartphone. Avec votre simple application "photo" ou une application spécifique de détection de QR-Code, le code capté ouvrira l'un de nos articles en ligne sur notre site internet.

Qu'y a-t-il au bout de ce QR-Code ?

En général, nous vous proposons un lien qui pointe vers un article en ligne depuis notre site internet. Nous ne pouvons pas toujours être exhaustifs à l'antenne lors de nos reportages ou émissions. Ainsi, nous vous proposons, via ce QR-Code, un complément d'information, un replay ou bien encore un élément de source qui nous a permis de réaliser nos reportages et enquêtes.

Cela nous permet de vous garantir la transparence de notre travail, mais aussi de vous apporter un service supplémentaire en facilitant vos recherches éventuelles.

PS : Et ne croyez-pas que l'on vous délivre par la même occasion votre QR-Code d'attestation de vaccination certifiée contre la Covid-19, qui vous sera remis, lui, après chaque injection, et de manière définitive après les deux doses. Même si ce symbole ressemble beaucoup, il n'aura absolument pas le même effet et ni même la même action pour votre "passeport vaccinal"  ;-)

Quelles sources allons-nous citer ?

Nous n'afficherons bien évidement que les sources d'information "documentables". Celles qui sont accessibles par le grand public. Il n'est bien sûr pas envisagé de divulguer certaines études, qui, sans être secrètes, sont parfois protégées par des droits. D'autant plus si elles sont payantes, voire tout simplement interdites, dans leur intégralité.

Et bien évidemment, nous ne dérogerons pas à la déontologie fondamentale du journalisme. Certaines sources doivent rester anonymes, et leur protection est notre devoir.

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