"Je pêche le vairon, le goujon, le gardon, la truite, la carpe, je pêche tout", énumère-t-il.

Quand il pêche, Maurice oublie les ennuis du quotidien.
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© F3 Limousin
C'est avec sa grand-mère, lorsqu'elle lavait le linge à la rivière, que le petit Maurice y a pris goût. Il a obtenu son permis de pêche en 1945 et ne l'a jamais perdu depuis.
Depuis 1945, je n'ai pas loupé un permis !
Ce loisir l'a accompagné toute son existence mais aussi soutenu. Après les décès de son épouse et de son fils, Maurice Bardeau s'est focalisé sur la pêche pour échapper aux pensées douloureuses.
"Quand je pêche, je ne pense plus à rien, je ne pense qu'à regarder mon bouchon, je ne pense pas aux ennuis que j'ai. Je suis décontracté !", déclare-t-il.
F3 Limousin-Maurice le pêcheur quasi centenaire