Leurs bombes font exploser l'art du graff sur la place du village pendant deux jours. Cinq graffeurs, de renommée internationale pour certains, partagent avec le public leur expression artistique.
Covid ou pas, ils portent le masque. Et avec eux, Aubazine fait le grand écart. L'abbaye cistercienne du 12ème siècle partage l'affiche avec le graff, né dans les années 60. Mélange des siècles et des couleurs. Le street art se met au vert... et c'est bien là l'objectif
Organisé par l'association Jardin des cultures d'Aubazine, ce festival a invité cinq gaffeurs, dont une nouvelle fois l'artiste Sêma Lao. La corrèzienne d'adoption a intégré la grande famille de l'art urbain depuis sept ans et elle s'y sent bien.
C'est la liberté psychologique, sans but lucratif. On peint pour le plaisir, pour s'exprimer, pour apporter quelque chose au lieu où on peint
L'accès à ces cinq blaze, comprenez signatures, est gratuit et en accès libre, dans le respect des conditions sanitaires. L'accès au théâtre de verdure est limité à 200 personnes.