Dans la nuit du 21 au 22 mars 2017, le véhicule d'une équipe de journalistes du quotidien "Le Parisien" a été dégradé alors qu'il stationnait sur la commune de Tarnac. Les vandales y ont inscrit plusieurs insultes.
Le van utilisé par des journalistes du "Parisien - Aujourd'hui en France" dans le cadre de la campagne électorale de la présidentielle a été vandalisé à Tarnac (Corrèze) dans la nuit du 21 au 22 mars 2017.
Alors que l'équipe passait la nuit dans la commune, ils avaient garé leur véhicule sur la voie publique. Le lendemain matin, ils n'ont plus que constater les dégâts. Plusieurs inscirptions avaient été taguées sur la carrosserie et il ne s'agissait pas de mots de bienvenue.
#TESENTRAINDEFAIREDELAMERDE
Le véhicule utilisé pour cette série #Moielecteur est un van. Un véhicule dont la forme n'a pas échappé aux auteurs de ces insultes : "Ceci n'est pas un suppositoire" pouvait-on lire ou encore #Tesentraindefairedelamerde. La gendarmerie précise que l'équipe de journalistes n'était là que pour passer la nuit et non pour y faire un reportage.Présidentielle : notre van #moiélecteur met le cap sur la Corrèze, la Creuse et le Cher ►https://t.co/yahgRcsiX2 pic.twitter.com/IJRJxKXNxT
— Le Parisien (@le_Parisien) 17 mars 2017
Une semaine entre Creuse, Corrèze et Cher
Depuis le 27 février, le van du "Parisien" sillonne les routes de France. Entre le 20 et le 25 mars, l'équipe s'est rendue en Creuse, en Corrèze et dans le Cher pour aller à la rencontre de la "France rurale".