Invité des 4 vérités ce 6 octobre sur France 2, Benjamin Griveaux, secrétaire d’état auprès du ministre de l’économie et des finances, a mis en cause les méthodes de deux syndicalistes de GM&S qui pour lui n’ont pas facilité les négociations pour la reprise de l’entreprise.
La petite phrase polémique du président de la République à Egletons le 4 octobre n’en finit pas de faire des vagues et libère la parole de ses ministres.
Invité de l’émission Télématin le 6 octobre 2017 sur France 2, Benjamin Griveaux a affirmé haut et fort que si l’état avait aidé à trouver une solution partielle à l’épineux dossier GM&S, 2 syndicalistes de l’entreprise avaient rendu les négociations plus compliquées de par leurs méthodes.
Les blocages de sites de production Renault et Peugeot se sont en effet succédé ces derniers mois.
De leur côté, les syndicalistes en question continuent le combat et demandent un droit de réponse dans un débat télévisé.
Ils ne croient pas en la viabilité du projet de l’entreprise GMD qui n’a repris que 120 salariés sur 277. Dans ces conditions, il ne serait selon les syndicats, pas possible de produire le même nombre de pièces ou encore d’élargir la gamme.