Près de Périgueux, Yann Forestier donne corps à tout ce que l'on peut imaginer. A la tête d'un parc d'une vingtaine d'imprimantes 3D il n'a comme seule limite que la taille et le matériau. Hormis cela, il peut recréer n'importe quel objet qu'il exporte dans le monde entier
Les applications sont multiples avec comme seule limite l'imaginaire... et quelques contraintes techniques. Les imprimantes 3D ont investi le champ professionnel et s'imposent de plus chez les particulier. Yann Forestier a senti le vent venir depuis près de 3 ans maintenant. A Chancelade, près de Périgueux, ce chef d'entreprise quadragénaire est à la tête d'une vingtaine d'imprimantes 3D qu'il fait tourner jour et nuit.
Et il fabrique... n'importe quoi ! Des pièces techniques, des éléments de selles de cheval, des oeuvres d'art ou encore des éléments d'appareillage devenus introuvables ou beaucoup trop onéreux pour être remplacés à l'identique. Tout devient possible, y compris la reproduction d'arbres grandeur nature de 7 mètres d'envergure qu'il a expédié dans un musée au Moyen-Orient...