C'est une affaire dans laquelle on cherche la petite puce. Et plus précisemment, celle, électronique, du chien Gribouille que la SPA affirme ne jamais avoir détectée, alors que son propriétaire affirme qu'elle est parfaitement détectable. Il maintient son accusation en justice
Pas une, pas deux, mais 5 fois.
La SPA affirme avoir procédé à 5 tentatives de détection de puce électronique sur le chien Gribouille. En vain.
Gribouille aurait été examiné par les employés municipaux de la mairie de Montpeyroux où l'animal a été recueilli après sa fugue, par l'employé de la SPA venu chercher le chien, le vétérinaire de la SPA, à nouveau un employé de la SPA à la sortie du refuge, et enfin un vétérinaire qui a vacciné le chien.
Mais ce n'est pas la version de Pascal, qui depuis le début affirme que son chien a bel et bien une puce, déjà détectée lors d'une précédente fugue par un vétérinaire, et à nouveau retrouvée depuis qu'il a récupéré l'animal. Une puce située juste à côté de la nouvelle puce implantée.