Elèves des sections cinéma venus de toute la France, les lycéens ont investi la ville de Sarlat pour un exercice de court-métrage grandeur nature. A la fin, le jury tranche !
Pendant le festival du film de Sarlat, 10 équipes de tournage investissent les rues de la ville. Caméra au poing, micro, concentration sous l'oeil bienveillant de professionnels.
L’ADN du festival, c’est la présence de ces 600 lycéens venus de toute la France pour ces 5 jours. Tous ont en commun d’être élève dans des sections cinéma.
Dans la peau des pros
Depuis le début de l’histoire de ce festival, et chaque année, une dizaine d’équipes de tournage composées de six lycéens s’essaye à la réalisation. L’exercice est très encadré.
Durée des courts métrages : trois minutes maximum.
Cette année le thème retenu est « métamorphose ». Chaque équipe est encadrée par des professionnels du métier. Un scénariste professionnel les a guidés durant les deux mois qui précèdent l’événement. Puis un réalisateur accompagne chaque tournage et enfin un monteur assure l’assemblage final.
Un défi entre lycéens
Une demi journée de tournage, une demi journée de montage, c’est le challenge de ces jeunes cinéastes. La ville historique de Sarlat comme décor, un ou deux personnages, des costumes s’ils le souhaitent, autant d’éléments pour feuille de route.
Les courts-métrages seront projetés sur grand écran vendredi soir, en clôture du festival lycéen. Un jury viendra récompenser les meilleures réalisations.
Pascal Tinon, journaliste de France 3 Périgord, a suivi un groupe en tournage dans les rues de Sarlat : regardez !
Pendant le festival du film de Sarlat, 10 équipes de tournage investissent les rues de la ville. Caméra au poing, micro, concentration sous l'oeil bienveillant de professionnels.
L’ADN du festival, c’est la présence de ces 600 lycéens venus de toute la France pour ces 5 jours. Tous ont en commun d’être élève dans des sections cinéma.