Meurtre de Pompignac : l'accusé de retour devant les assises ce lundi

Alain Laprie, accusé du meurtre de sa tante Marie Cescon le 17 mars 2004 à Pompignac retourne devant les assises de Bordeaux cette semaine. Un premier procès avait été renvoyé, après que le président avait demandé un complément d'information.
 

C'est une déclaration qui n'aurait pas été consignée dans les règles qui a entraîné un premier report.  Le premier procès d'Alain Laprie s'était déroulé en 2016, soit douze ans après les faits. Il avait été renvoyé au moment des plaidoiries:  ses aveux, recueillis par un enquêteur en dehors du cadre d'une garde-à-vue, ont été considérés irrecevables.

 



L'accusé, qui a toujours nié les faits qui lui sont reprochés, se retrouve à nouveau devant la cour d'assises de Bordeaux ce lundi.


Ce qu'il faut retenir de cette matinée d'audience avec Elise Galand et Didier Bonnet :

 
Meurtre de Pompignac : l'accusé de retour devant les assises ce lundi

 

Un corps, et une maison incendiée

Dans la soirée du 17 mars 2004, une maison est incendiée à Pompignac, en Gironde. Le corps de son occupante, Marie Lescon, âgée de 89 ans est retrouvé sur les lieux.
Rapidement, le neveu de la victime, Alain Laprie, est soupçonné du meurtre.


Une histoire de déshéritage est évoquée. Mais le suspect nie les faits. Les enquêteurs, de leur coté, ne disposent d'aucune preuve matérielle. Seul un témoignage, de l'oncle d'Alain Laprie aujourd'hui décédé, l'accuse des faits.




Lors de son procès, en 2016, l'accusé reste sur sa position. A l'époque, l'avocat général avait requis quinze ans de réclusion criminelle


 
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