Sans victoire et sans ressort depuis novembre, un staff remodelé pour sauver les apparences: rien ne va plus à Bordeaux-Bègles (11e) en grand danger au moment de recevoir Grenoble (13e) ce samedi, devenu son principal concurrent pour le maintien en Top 14.
Il aurait été difficile de prévoir cette sombre issue au soir du 19 novembre après le succès sur La Rochelle (26-0) qui avait placé les hommes de Raphaël Ibanez en position de dauphin de Clermont. Trois mois et demi plus tard, les Rochelais sont leaders, et l'UBB n'a plus gagné un match - 6 défaites, 1 nul -. Du coup huit équipes lui sont passées devant et iI n'en reste plus que trois derrière (Lyon, Grenoble et Bayonne). Mais au train où vont les choses, le danger est bel et bien là.
Sans victoire et sans ressort depuis novembre, un staff remodelé pour sauver les apparences: rien ne va plus à Bordeaux-Bègles (11e) en grand danger au moment de recevoir Grenoble (13e) ce samedi, devenu son principal concurrent pour le maintien en Top 14.
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©France 3 Aquitaine
Sans confiance ni dynamique, sans véritable leader sur le terrain et de plus en plus gagnés par la peur avec cet enchaînement de défaites, les Bordelo-Béglais ne respirent pas la sérénité.
Une nouvelle défaite samedi obscurcirait davantage encore son avenir d'autant que l'UBB devra se déplacer quatre fois d'ici la fin du championnat contre seulement deux fois pour les Isérois.
Le club a toutefois tenté un petit quelque chose pour tenter de briser la spirale, en modifiant l'organigramme de l'encadrement avec les promotions du 2e ligne international anglais Tom Palmer, chargé de la touche, et du pilier international Jean-Baptiste Poux, qui s'occupe de la mêlée - Jacques Brunel s'occupant désormais du mouvement général et Émile Ntamak des trois-quarts.